Article paru dans Lyon Blondy Blog
« Camps de Roms. C’est ainsi que l’on désigne les nouveaux bidonvilles. Cette expression trahit l’idée selon laquelle l’existence de ces zones d’habitat indigne serait due au mode de vie nomade des Tsiganes d’Europe de l’Est que l’on appelle « Roms ». Cette idée est vivement contestée chez les chercheurs, acteurs de terrain et travailleurs sociaux. Pour eux, les bidonvilles ne sont que le résultat de l’extrême précarité dans laquelle vit toute une partie des habitants de l’Hexagone. Une population au sein de laquelle les Roms sont surreprésentés, en raison de divers facteurs socio-économiques. »
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Voir l’étude de Trajectoires Du bidonville à la ville